NOUVELLE RÉALITÉ

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La dynamique matricielle

856 Peinture de guérison

856 Peinture de guérison

Aziz El Amrani est un médecin soufi qui donne des explications scientifiques des vérités énon­cées par la non-dualité et d’autres voies spirituelles.

Il parle de la réalité électromagnétique, qui ne forme que 0,1 % de la réalité. C’est ce qu’on appelle le voile, la réalité de la manifestation dualiste, impermanente, mais qui est très séduisante par ses apparences ; celle qui correspond aussi à la pensée et aux neurones de notre cerveau.

La réalité lumineuse (la lumière sombre invisible) forme 99,9 % de la réalité ; elle serait peut-être ce que certains appellent la vacuité. Nous pouvons nous connecter à cette réalité par certaines cellules de notre cerveau : c’est la vision globale, unitaire, holistique des choses.

Aziz El Amrani parle des trois cerveaux : le cerveau reptilien, qui concerne notre survie et la plus grande partie de notre fonctionnement, le cerveau limbique, qui concerne nos habitudes répétitives, et le néocortex, qui concerne la pensée réflective, dont une partie peut se connecter à la matière sombre.

Il parle de la méditation (augmenter l’espace entre les pensées), de la présence, des pratiques formelles, des efforts et de la discipline qui correspondent plutôt à la vieille énergie. Il propose toutefois des outils soufis pour pratiquer.

Selon qu’on a la vision linéaire continue (ancienne) ou la vision quantique discontinue, on va vivre et fonctionner dans une réalité ou l’autre. La réalité quantique fonctionne sur la rotation, qui passe par une phase de cristallisation dans la matière, puis une phase de dissolution et de retour à la source. Nous passons continuellement par ces phases et c’est ce qui nous connecte à tout l’univers, depuis le microcosme jusqu’au macrocosme.

On aurait découvert en 1999 un trou noir dans notre galaxie qui émettrait d’immenses quantités de lumière noire ; c’est ce qui va nous permettre de changer sans faire les efforts qui étaient néces­saires dans le passé et de sortir des limites du voile du champ électromagnétique.

La force nucléaire faible correspondrait à la lumière noire et la force nucléaire forte à la dualité, avec le plus et le moins, qui trouvent leur équilibre grâce à un troisième composant : l’amour qui lie toutes choses.

Dans la nouvelle réalité, on n’a pas besoin d’énergie, mais d’informations ; chaque cycle de rotation apporte de nouvelles informations. Cela me fait penser à l’échange d’informations entre nos cellules et l’environnement dont parle Richard Rudd*.

L’absolu est vaste, infini ; la forme (la matière) est vaste par sa diversité. 

 

16 avril 2015, Chiang Mai

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